La vérité au sujet de l'abus rituel satanique

L'abus rituel satanique est le fruit défendu évoqué au début de la Bible dans le Livre de la Genèse

De nombreux athées, ainsi que, très probablement un certain nombre de Chrétiens en quête de sens, se posent la douloureuse question suivante :

Pourquoi Dieu a-t-il placé, au beau milieu du jardin, un arbre dont le fruit est défendu ?

La seule réponse logique – qui peut être formulée de manières aussi diverses qu'hypocrites... – est : pour le plaisir de nous soumettre à la tentation et de se faire obéir, en mode "Alors, qui c'est le Patron ?", ce qui semble cohérent avec la fin du célèbre "Notre Père"... qui a pourtant été récemment modifié par l'Église française qui, dans une initiative que je salue, a changé "Ne nous soumets pas à la tentation" en "Ne nous laisse pas entrer en tentation", reconnaissant ainsi que Dieu n'aurait pas la cruauté de nous tenter, que c'est plutôt le diable qui nous tente et que Dieu, dans son Amour pour nous, peut nous protéger du diable. De fait, l'idée que Dieu pourrait nous soumettre à la tentation puis se mettre en colère et nous punir si nous cédons à la tentation à laquelle Il nous a lui-même soumis est incohérente avec le fait que Dieu est Amour... ce dont on peut douter en lisant les inepties que des personnes soi-disant seules autorisées à le faire nous servent en guise de Christianisme.

Revenons donc à notre question : Pourquoi Dieu a-t-il placé, au beau milieu du jardin, un arbre dont le fruit est défendu ? N'aurait-il pas été plus simple et plus aimant de ne tout simplement pas créer d'arbre au fruit défendu ? À ma connaissance, aucune institution chrétienne ne réponds à cette question pourtant fondamentale et je n'ai même jamais entendu quiconque, pas même l'un des prophètes auto-proclamés qui pullulent sur les réseaux sociaux, apporter ne serait-ce qu'un élément de réponse satisfaisant alors que, comme souvent, la vérité est on ne peut plus simple. La voici !

La vérité si simple qu'un enfant de douze ans la comprendrait :

Dans son Amour pour nous, Dieu nous a doté, en nous créant, d'un système de protection contre la douleur. Ainsi, lorsque nous nous blessons, notre corps sécréte des endorphines ayant un effet antalgique. C'est la raison pour laquelle, pour citer une situation dont de nombreuses personnes ont pu faire l'expérience ou la constater chez un proche, lorsque nous nous foulons une cheville en montagne, nous pouvons continuer à marcher plusieurs heures sans problème et rentrer chez nous. Une fois que nous sommes en lieu sûr, notre cheville enfle et la douleur causée par l'entorse ne nous permet plus de poser le pied par terre pendant deux ou trois semaines. Sans ce système de protection contre la douleur, et avant l'invention du téléphone portable qui reste très récente à l'échelle de l'histoire de l'humanité, un randonneur isolé aurait pu mourir de soif ou de froid à quelques heures de marche de chez lui. L'écueil de ce système de protection contre la douleur dont Dieu nous a dotés en nous créant – pas d'un coup de baguette magique mais, tout simplement, par le bais des lois de la biologie, de la chimie et de l'évolution qu'Il a mises en place dès le Big Bang – c'est que des fumiers sadiques et sans scrupule ont très vite compris que s'ils torturaient des gens puis buvaient leur sang chargé en endorphines, ils pourraient se droguer avec ces endorphines – ce que la Bible dénonce clairement en parlant d'une femme"ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus" (Apocalypse 17:6).

Si cette idée vous paraît inconcevable, souvenez vous qu'en temps de guerre, on rapporte fréquemment des actes de torture or la guerre ne crée pas les tortionnaires ! La guerre permet simplement aux tortionnaires – c'est à dire, pour appeler un chat un chat, aux psychopathes sadiques – de se laisser aller à leur penchant cruel sans prendre trop de risque d'être puni par la loi. Alors ne nous leurrons pas : si des psychopathes trouvent un moyen de non seulement prendre leur sadique plaisir à torturer des gens mais, en prime, de se droguer avec leur sang sans se faire prendre, ils ne vont pas se priver.

Voilà, en résumé, la sombre et sordide histoire de l'abus rituel satanique qui, aussi insensée qu'elle puisse paraître, n'a rien de bien extravagant. La Bible en parle (j'ai cité en page d'accueil d'autres versets évoquant le sang issu de torture et ayant des propriétés psychotropes), les satanistes haut gradés en parlent avec le langage symbolique qui est le leur et que je connais parfaitement (ce qui m'a valu d'être hospitalisé en psychiatrie contre mon gré et de manière illégale, ainsi que j'en apporte la preuve en page d'accueil, pour "délires à interprétations systématique" – entendez "Parce que, en haut-lieu, on n'apprécie guère que je connaisse des symboles que je ne suis pas sensé connaître"...) et, étant donné la richesse et le pouvoir dont peuvent jouir les satanistes haut gradés, il ne leur est malheureusement pas difficile de voler des bébés nés sous X (c'est à dire avant tout de mères chrétiennes) puisque leur mère n'a pas le droit de recevoir la moindre nouvelle à leur sujet, ou d'acheter, dans les pays pauvres, de jeunes enfants à des parents qui n'ont pas les moyens de les nourrir et qui, donc, ne sont pas satanistes, ce qui leur a valu d'être classés comme Chrétiens par dans le Livre de l'Apocalypse) espérant que la personne les "adoptant" leur donnera une vie bien meilleure que celle qu'ils auraient pu lui offrir. Tout cela est malheureusment aussi banal que sordide : il n'y a rien d'extravagant, je le répète, dans le fait que des psychopathes sadiques et d'autant plus désoeuvrés qu'ils sont fortunés (ne dit-on pas que l'oisiveté est la mère de tous les vices ?) puissent sans scrupule tirer profit de l'amour que des parents désespérés portent à leur enfant.

Maintenant, soyons lucide : l'explication que je vous donne est non seulement parfaitement cohérente et sensée mais très simple. Il est impossible que l'intelligentsia, les institutions chrétiennes et les media du monde entier n'y aient jamais songé. Alors comment se fait-il que des institutions chrétiennes qui prétendent représenter Jésus n'évoquent jamais l'abus rituel satanique ? Comment se fait-il que des institutions chrétiennes qui prétendent représenter Jésus n'évoquent jamais les versets bibliques que je cite en page d'accueil ? Et pourquoi tous les media n'abordent-ils jamais le sujet à moins que ce soit (comme le fait ce reportage d'Arte – ponctué d'étranges signes cabalistiques – au sujet d'une substance fallacieusement baptisée "adrénochrome" afin de mieux brouiller les pistes) pour prétendre que des conspirationnistes s'imaginent que des satanistes boivent du sang dans le seul but d'ingérer de l'adrénaline quand bien même cette molécule est disponible en pharmacie sur ordonnance simple alors qu'il faut une ordonnance sécurisée pour obtenir des stupéfiants ?

Il est consternant, soit de bêtise soit de mauvaise foi, de prétendre qu'on puisse pratiquer l'abus rituel satanique dans le seul but d'ingérer de l'adrénaline alors que, je le répète, se procurer de l'adrénaline est autrement plus facile que de se procurer de l'héroïne, de la cocaïne ou de l'extasy. Il est de même consternant, soit de bêtise soit de mauvaise foi, de prétendre que l'idée que des satanistes pratiquent l'abus rituel est complètement folle et ne peut qu'être issue de l'esprit fêlé de conspirationnistes plus ou moins paranos alors que la Bible en parle en termes clairs, que les media dénoncent de manière régulière des actes de torture, notamment en temps de guerre, et que n'importe quelle personne moyennement cultivée sait parfaitement qu'en cas de douleur le corps humain produit des endorphines agissant sur les récepteurs opiacés et produisant une sensation de bien-être voire d'euphorie.

À ceux qui objecteraient que cette histoire d'abus rituel satanique reste difficile à concevoir et qu'il serait tout de même plus simple de se droguer avec de l'héroïne, de la cocaïne ou de l'extasy, je réponds premièrement que ceux qui se rendent coupables d'abus rituel satanique sont des psychopathes sadiques qui aiment pratiquer la torture et, deuxièmement, qu'il est, justement, tout à fait concevable que des neuromédiateurs produits naturellement par le corps humain soient plus efficaces et plus appréciés en tant que psychotropes que des molécules extraites de plantes voire entièrement synthétiques.

Crédit photo : Chapelle de Plaincourault

Les mensonges racontés aux satanistes des degrés inférieurs

L'un des principe du satanisme est que ceux des degrés supérieurs mentent à ceux des degrés inférieurs. Ainsi, le grand public est souvent convaincu que le fruit défendu est un acte sexuel – souvent représenté par une pomme et repris par la marque informatique "Apple" ("pomme" en anglais") dont le pictogramme est une pomme dont on a croqué une bouchée. Les satanistes du bas de la pyramide sont eux aussi convaincus que le fruit défendu est un acte sexuel "simple", c'est à dire entre deux adultes consentants, tandis qu'on fait croire aux satanistes des degrés intermédiaires que le fruit défendu est un champignon hallucinogène et que ce sont les propriétés psychotropes de ce champignon qui permettent à ceux qui en ingèrent de se prendre pour des dieux, ainsi que le serpent le raconte à Adam et Ève en Genèse 3:5 et, s'ils en ingèrent des quantités plus faibles, de profiter d'une agréable sensation de bien-être qu'on leur présente comme la paix de Dieu... sauf que la pratique spirituelle ne se résume pas à prendre une drogue quelle qu'elle soit – ce n'est pas pour rien que le serpent dit à Ève "Vous serez comme des dieux" et non "Vous serez des dieux" et ce n'est pas pour rien non plus que le fruit défendu est défendu ! Il faut être vraiment naïf pour s'imaginer que prendre de la drogue et obtenir un effet quasi immédiat plutôt que s'adonner, une vie durant, à une pratique spirituelle digne de ce nom peut être la porte étroite !

La photo ci-dessus, prise à la chappelle de Plaincourault et datant du XIII^ème siècle, témoigne de la croyance selon laquelle le fruit défendu est un champignon. Sur cette fresque murale, on voit Adam et Ève autour d'un arbre dont les fruits sont en réalité des champignons qui ressemblent beaucoup à des amanites tue-mouches, un champignon connu pour avoir des propriétés hallucinogène. On distingue également le serpent donnant à Ève ce qui pourrait être une pomme. Cette pomme n'est qu'un symbole indiquant que la scène représente bel et bien le péché originel et que l'arbre sur lequel se trouve le serpent représente bien l'arbre qui est au milieu du jardin et dont le fruit est défendu Genèse 3:3. Ce qui est très grave, c'est qu'un certain nombre de satanistes des degrés intermédiaires boivent une préparation dont on leur dit qu'elle est entièrement naturelle et faîte à partir d'un champignon alors qu'en réalité, ce qu'on leur donne est préparé à base de sang d'enfants qui ont été violés et torturés, ainsi que je l'ai expliqué plus haut. Il est d'ailleurs très simple pour ces satanistes des degrés intermédiaires d'avoir la certitude que ceux des degrés supérieurs leurs mentent éhontément au sujet de l'élixir de longue vie et de bien-être qu'ils leurs fournissent :

► Les substances hallucinogènes provoquent une accoutumance extrêmement élevée, c'est à dire que la quantité d'hallucinogène nécessaire pour produire le même effet augmente avec le temps. (Voir sur cette page, une définition de l'accoutumance, le point n°3 traitant notamment de l'accoutumance au sens physiologique du terme). À vrai dire, l'accoutumance provoquée par les hallucinogènes est si élevée que, lorsqu'une personne prend du LSD pendant ne serait-ce que cinq à sept jours d'affilée, le LSD ne lui fait plus que la moitié de l'effet initial. Au bout de seulement cinq à sept jours de prise de LSD, il faut donc deux fois plus de LSD pour obtenir un effet identique. Cela signifie qu'une personne prenant du LSD tous les jours pendant un mois devrait déjà en prendre 16 fois plus pour obtenir un effet similaire ! (Et encore, cette estimation est basée sur une accoutumance théorique au LSD qui serait proportionnelle à la durée depuis laquelle on en prend alors que l'accoutumance réelle est probablement exponentielle si bien que, très vite, le LSD ne produirait plus le moindre effet.) Le sang issu d'abus rituel satanique produit quant à lui une certaine accoutumance mais elle est très loin d'atteindre celle causée par les hallucinogènes. Certains satanistes peuvent ainsi consommer de manière quotidienne et pendant toute un vie du sang d'enfant torturés. Cela serait tout bonnement impossible avec un hallucinogène.

► La dépendance physique provoquée par les hallucinogènes, c'est à dire le besoin de continuer à en prendre sous peine de subir un syndrome de sevrage, est quant à elle complètement nulle alors que, comme la dépendance aux opiacés, dont fait partie la morphine, à laquelle ressemblent les endorphines produites par le corps humain en cas de douleur, la dépendance au sang issu d'abus rituel satanique est très élevée. Toute personne en consommant de manière régulière peut le vérifier de manière très simple en cessant d'en prendre ne serait-ce que quelques jours et en constatant combien elle se sent mal. Ce mal-être profond et d'installation rapide lié au fait de cesser d'ingérer du sang d'enfant torturé est le signe que, contrairement aux hallucinogènes, il provoque une grave dépendance.

Au nom de Jésus, que j'ai rencontré au Ciel lors d'une mort temporaire puis qui, plus de vingt ans plus tard, m'est apparu dans la Basilique Saint Pie X du Sanctuaire de Lourdes en me demandant de témoigner,
Stéphane Pautrot.